La Réligion alors autorise le crime, quod divos decuit cur mihi turpe putem ? […] Comme on fait à ce libertin des reproches sur son crime, il s’excuse sur un tableau qu’il vit dans sa chambre. […] Le tableau des nudités entrepris d’abord par le crime est le plus parfait, lorsque la passion a tenu le pinceau. […] Ils devroient être appellés les Peintres des crimes. […] Ne vous flattez pas ; vos yeux, vos oreilles, votre cœur ont déjà commis le crime.