Ce n’est qu’un tissu de farces qui n’ont jamais roulé que sur des passions, des folies, des crimes, sans que jamais il y soit entré l’ombre la plus legere de religion, comme à la Comédie Françoise. […] Je n’y vois rien que de petit ; ou si l’on veut absolument du grand, il faut dire qu’elle a eu de grands vices, fait de grands crimes & de grands maux, & alors peu de personnes l’égalent.