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303. (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32

Serait-ce un plus grand crime d’assister une fois à la Comédie, que de se faire mettre à la tête des Comédies, comme l’Approbateur de tout ce qu’on fait à présent sur le Théâtre ? […] , « cela ne peut être vrai, qu’à l’égard de certaines qualités, qui ne sont pas tant un crime qu’un faux goût, qu’un sot entêtement, comme vous diriez, l’humeur des Prudes, des Précieuses, de ceux qui outrent les modes, qui s’érigent en Marquis, qui parlent incessamment de leur Noblesse ; car pour la galanterie criminelle, l’Envie, la Fourberie, l’Avarice, la Vanité, et choses semblables, on ne peut croire que le Comique leur ait fait beaucoup de mal.

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