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69. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE VI. Du sérieux et de la gaieté. » pp. 128-149

Ce n'est guère à un Chrétien à se déclarer si fort le partisan de la joie, lui à qui les risques de son salut, la crainte d'une éternité de supplices, des remords de conscience, des péchés sans nombre, la nécessité indispensable de la pénitence, doivent, comme à David et à la Madeleine, faire verser des torrents de larmes. […]  » Dira-t-on qu'en matière de divertissement, l'homme sans règles, sans bornes, sans ménagement, sans crainte, peut s'abandonner à tout ? […] Ou si quelquefois on écoute ou on parle avec attention, prononcez sans crainte de vous méprendre, que c'est quelque discours licencieux.

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