pouvez-vous vous taire, parler ou écrire, sans craindre qu’on ne donne une mauvaise interprétation à votre silence, à vos paroles, ou à vos écrits ? […] faites-vous quelqu’affaire, un marché, un contrat, une société quelconque, sans craindre d’être trompés, sans l’être en effet fort souvent, et sans être forcés de plaider même avec ceux qui se disaient vos amis, que vous avez obligés ?