Il est à craindre que ceux dont vous parlez, ne soient du nombre de ceux qui croient pouvoir servir deux maîtres, « Nemo potest duobus Dominis servire. » Dieu, et le monde ; et ne ressemblent aux Pharisiens que Jésus-Christ compare à des sépulcres blanchis. […] Mais quand même ces prétendus dévots seraient impénétrables aux attraits du plaisir, ils devraient craindre pour eux cette parole de saint Paul : que « celui qui croit être debout, prenne garde à ne pas tomber » ; « Qui se existimat stare, videat ne cadat. » 1.