Les Dames, auxquelles vous avez montré ma Lettre, craignent d’être privées de ce qui les flâte ; elles voudroient bien vénir à bout de me persuader, que ce, qu’elles desirent, est honnête & innocent. […] Je crains tout pour elle : &, si elle n’a pas les marques d’une reprobation éternelle, du moins elle ne porte pas celles, qui nous font juger, qu’elle est dans la voie de son salut. […] Ai-je tort de dire, que j’ai tout à craindre pour son salut ? […] Si la Demoiselle craint cette effraiante verité, comment peut elle être tranquille ? […] Je crains beaucoup qu’elle n’ait extorqué ce commandement pour calmer sa conscience.