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254. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

Il ne s’y trouva jamais, et il les aurait entièrement abolis, s’il n’avait craint d’irriter le peuple, et de faire trop tôt regretter les douceurs du Règne d’Auguste. […] Cela ne se fit qu’en particulier, et Lampridius qui n’a pas craint d’écrire tout ce qu’il avait entendu raconter de cet exécrable Prince, le dit d’une manière fort claire. […] On était menacé d’un furieux orage, on craignait que la campagne fût ravagée et la moisson emportée. […] Ce n’est pas qu’on ne les croie mauvaises : mais en les interdisant absolument on craint de plus grand maux. […] « Tous les grands divertissements sont dangereux pour la vie chrétienne ; mais entre tous ceux que le monde a inventés, il n’y en a point qui soit plus à craindre que la Comédie.

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