Hé quoi, n’avons-nous reçu le Sacrement de salut, que pour nous rendre plus coupables, et pour nous souiller bien davantage que nous ne l’étions, par une prévarication tout à fait criminelle ? […] Ils sont sans doute bien moins coupables que nous, lorsqu’ils vont aux spectacles. […] Ce n’est pas assez de ne pas faire soi-même du mal, puisqu’on se rend coupable de celui que font les autres, lorsqu’on leur applaudit, qu’on les loue, qu’on les favorise, et que l’on approuve ce qu’ils font par sa présence, « Nobis satis non est si ipsi nihil tale faciamus, nisi et tale facientibus non conferamus », dit Tertullien.