Voltaire en convient : ce n’est point un juge qui condamne un coupable, un Souverain qui proscrit un crime d’État, c’est une femme qui termine une galanterie par un meurtre .
Voltaire en convient : ce n’est point un juge qui condamne un coupable, un Souverain qui proscrit un crime d’État, c’est une femme qui termine une galanterie par un meurtre .