C’est par-tout des personnes sans vocation, entrées par force dans un Monastère avec une passion violente qu’elles conservent, retrouvées par leur amant, au moment d’être enlevées ; par-tout le coup de théatre trivial des reconnoissances par quelques lettres ou portrait qu’on gardoit dans son sein. […] On a cru trouver là un merveilleux coup de théatre, & c’est une absurdité. […] De cent coups de poignard, & jusque dans ton cœur Ma rage auroit percé celui du ravisseur.