Ainsi qu’ils commencèrent à lâcher leur premier pétard ou petit tonnerre jésuitique, le temps auparavant serein se brouille tout à coup, une nuée crève, une ravine d’eau s’épand et verse l’espace de deux heures durant sur les drôles du paradis et de l’enfer des loyolitess. […] Les jésuites, composant leur contenance contre ces coups du ciel, achevèrent le lendemain, comme j’ai dit, et s’étudient à maintenir leur réputation.