» Enfin ajoutons à ces solides réflexions ce coup de pinceau du Citoyen de Geneve1 qui a peint l’objet d’après nature : « La Tragédie ne nous présente presque toujours que des scélérats d’un haut rang ; vengeance, assassinats, empoisonnement, ambition, révolte, fureur, désespoir. […] Alors les esprits échauffés produisirent tout d’un coup par une espece d’enthousiasme les Vers appellés fescennins.