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21. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174

Ma Divinité seule après ce coup funeste. […] Encore même le fils prétendu d’Athalie était-il un enfant inconnu, qui paraît tout à coup, dont la naissance n’était établie que sur la déposition d’une femme qui disait l’avoir furtivement enlevé. […] Brutus, reconnu fils de César, déterminément et par choix porte les premiers coups à son père. […] tremble, Tyran ; voilà ton coup mortel. […] Et l’on peut au Tyran porter un coup mortel.

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