N’est-on pas donc obligé de regarder au moins la comédie, comme un divertissement dangereux, puis qu’ils ont parlé de cette sorte de spectacle, comme d’une chose, capable de corrompre les mœurs les plus innocentes ? […] C’est ainsi, que la chasteté estant d’ailleurs tant interressée en toute manière, par de fréquens débris, trouve à la comédie, comme son dernier écüeil, où elle acheve de corrompre, & de perdre, ce qui pouvoit encore n’estre pas corrompu entierement, & où elle assure, & confirme dans sa corruption, ce qui l’estoit déjà depuis long-temps.