« Brillants amusements d’un monde corrompu, Valez-vous ces vrais biens que donne la vertu ? […] Avec eux descendront dans l’abîme les sages selon le monde, la vanité ayant corrompu leurs vertus ; puis les philosophes orgueilleux qui contestent au Tout-Puissant l’ouvrage de la création, qui blasphèment contre la Providence, assurant que les choses d’ici-bas ne dépendent point de Dieu, que le monde est venu par hasard et s’en retournera de même. […] « Ce spectacle, mûrement examiné, apportera la réforme dans les mœurs que le théâtre a corrompues, il inspirera du dégoût pour les amusements profanes.