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288. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

On regardait ce Poète comme un homme qui devait servir à régler les mœurs, à corriger le vice ; c’est ce qui est fort bien exprimé dans son Epitaphe. […] Ce Canon veut qu’on reprenne les Chrétiens qui tombent dans cette faute ; et que s’ils ne se corrigent point, ils encourent les peines qui ont été autrefois prescrites. […] « le Roi avait proscrit la Comédie Italienne ; parce que l’on n’y gardait plus les Règlements de Sa Majesté, que l’on y jouait encore des pièces trop licencieuses, et que l’on ne s’y était pas corrigé des obscénités et des gestes indécents.

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