Il est bon sans doute de se corriger de ses ridicules, mais non pas aux dépens de la religion & des mœurs, infiniment plus nécessaires que la politesse mondaine. […] Mais en vérité il y auroit trop à faire & trop peu à gagner, les corrections feroient un volume plus gros que les œuvres, & les trois quarts de ses pieces ne méritent pas d’être corrigées.