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113. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE X. De la protection due aux Comédiens par le ministère public, contre les entreprises du fanatisme. » pp. 174-185

Puisque le clergé ne peut exiger l’abjuration des comédiens, sans se constituer en délit contre la volonté du prince et des lois, il s’ensuit que le refus d’admettre à l’église le corps des acteurs, et de leur accorder des prières, ne peut non plus avoir lieu. […] Il se constituerait par le fait, puissance législative et exécutive dans l’état et punirait dans le corps mort d’un citoyen, le zèle et le dévouement que celui-ci aurait apporté pendant sa vie, à remplir une profession voulue par le prince et consacrée par les lois.

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