Il est encore convenu de tout le monde, & notoire par toutes les histoires, que depuis Constantin & ses enfans, quoique réformé par le christianisme dominant, & mis sur le pied où nous le voyons, par les loix innombrables des Empereurs Valentinien, Valens, Gratien, Théodose, Arcade, Justinien, le théatre continua d’être très-mauvais jusqu’à son extinction en Occident par l’irruption des barbares, en Orient par l’invasion des Turcs. […] Aucun qui ne convienne qu’il y a quelquefois du danger, qu’il y en a toûjours pour certaines personnes, qu’il y en a dans beaucoup de pièces, qu’il y a donc alors du péché.