Mais avant que d’en découvrir le mystère, il faut vous en faire rougir s’il y a moyen, en vous faisant voir combien ce silence est injuste, et combien il est contraire à la piété et aux sentiments que les véritables Chrétiens ont toujours fait paraître en de semblables occasions. […] » Et afin que l’on ne dise pas que cette tristesse n’était que passagère, et que la joie du successeur en effaçait entièrement le souvenir,1 on n’a qu’à lire pour être convaincu du contraire, le Décret qui se faisait en suite de l’Election pour être mis et conservé dans les Archives de l’Eglise de Rome.