Combien de jeunes gens très assidus aux spectacles ne conserveraient aucune idée des bonnes mœurs, s’ils n’étaient soutenus, ou par des prédications saintes et éloquentes, ou par des sentiments d’honneur naturels, ou par une éducation avantageuse ? Combien d’autres au contraire, plus assidus aux prédications, conserveraient mieux les bonnes idées qu’ils y reçoivent, et en retireraient plus de fruit, s’ils n’étaient attirés aux spectacles par d’appât du plaisir ?