Que cette matière, ainsi purgée soit mise au creuset d’une saine critique ; qu’on la dégage des platitudes, des bouffonneries, des fadeurs, des grossièretés, des scènes, des conversations de valet, de soubrette, de paysan, de fourbe, pour ne conserver que ce qu’il y a d’ingénieux et de bon : toute la bibliothèque du théâtre de plus de mille volumes ferait à peine deux ou trois in-12. […] Cette liberté de répandre sur tout le vernis du ridicule, s’allie-t-elle avec les sentiments que l’intérêt de la société demande que nous conservions les uns pour les autres ?