L’esprit de prière, comment le conserver, après que tant d’objets profanes ont fait sortir l’âme d’elle-même, quand elle n’est remplie que de fantômes ; et la prière qu’on adresserait à Dieu au sortir de ces représentations, supposé qu’on en fît, ne serait-elle pas plus propre à l’irriter qu’à le fléchir ? […] Livré aux joies charnelles d’un monde corrompu, quel attrait peut-il conserver pour ellebc ?