Revenons au cas proposé et concluons de tout ce que nous venons de dire qu’Aristobule et Marianne sont obligés en conscience de renoncer à la Comédie pour toujours et d’obéir au commandement que le Confesseur leur en fait. […] Ce Curé a-t-il pu en conscience la lui refuser en public, malgré le scandale qu’il prévoyait bien devoir en arriver ? […] Nous ne voulons rien dire de la mollesse et du peu de retenue, où s’engagent souvent ceux qui ne font point de scrupule de se laisser aller à un tel excès, et nous nous contentons de déclarer notre sentiment, qui est, que ces Religieux ne peuvent en conscience, et sans un péché fort grief continuer à prendre une telle récréation.