Le désir de décider la question est donc un désir légitime ; mais si, en l’entreprenant, on n’a pour soi, ni les consciences scrupuleuses, ni les consciences aisées, à qui donc pourra-t-on s’adresser ? […] Du côté de la Conscience. […] Du côté de la Conscience, à maintenir, avec force, les Réglemens déjà établis, lesquels consistent : A ne point permettre de Piéces tirées des Ecritures Saintes, ainsi que plusieurs Magistrats s’en sont déjà déclarés.