Que l’on ne doit rien faire ni entreprendre, dont nous ne soyons certains et résolus en notre conscience, s’il est agréable à Dieu ou non. Que les actions de soi indifférentes, sont rendues bonnes, quand la conscience est bonne ; mauvaises, quand la conscience est mauvaise, ou irrésolue. Que cette force de la conscience, n’a lieu, qu’ès choses en soi indifférentes, non en celle qui de leur nature sont mauvaises, qui ne deviennent jamais bonnes, quelque conscience que l’on y apporte. […] Je renvoie les autres observations à la conscience d’un chacun. […] Peut-on nier, en conscience, que la fin de ces jeux, soit autre aujourd’hui ?