Je ne sais sur quoi les peintres peuvent se croire en sureté de conscience ; mais il est évident que cette sorte d’enseignement blesse toutes les loix de la bienséance, les bonnes mœurs & la religion : c’est une occasion, non-seulement prochaine, mais violente des plus grands péchés d’impureté. […] Art funeste de la peinture, s’il ne s’apprend, s’il ne s’exerce qu’aux dépens de la conscience !