d’écrire, sous quelque dénomination que ce soit, contre la Religion, l’Etat & les bonnes mœurs , ce n’est pas nous ôter la liberté de penser (p. 15.) que la justice travaille à nous donner un moyen d’accorder nos plaisirs publics avec le respect que nous devons à notre croyance & à notre culte : moyen qui est si fort à souhaiter, puisqu’il est unique pour la découverte & le triomphe de la vérité, & pour la tranquillité publique, sans laquelle il n’y a point de bonheur ni pour le Philosophe, ni pour le Peuple : moyen qui est tellement du ressort de cette justice, que nous ne pouvons le tenir que de sa main, (quelque soit le Tribunal à qui il appartient d’en connoître ; ceci soit dit, Chers François, pour vous fournir de quoi fermer la bouche à tout iroquois qui se donnera la liberté de dire en votre présence que je fais ici quelqu’attribution de Juridiction.)