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497. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

Je connois une ville où l’on a rasé un très-beau jardin, où l’on a ébranché jusqu’au sommet tous les arbres des promenades publiques, afin que le défaut d’ombre et de retraite quelconque, obligeât les oisifs à aller s’entasser au spectacle.

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