/ 351
46. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

qui ne laissent voir que la malice la plus étudiée et la plus digne de la colère du Juge qui nous demandera compte un jour de notre conduite. […] Il ne sera peut-être pas inutile de nous rappeler à présent la conduite des auteurs Païens. […] Périplectimene répond à Pleuside d’un air sévère : « C’est une grande ignorance et une insigne folie que de trouver à redire à la conduite des Dieux, et de leur manquer de respect. […] « nous ne devons jamais blâmer la conduite de Jupiter ». […] La conduite peut-elle être la même de part et d’autre, lorsque la Religion est si différente ?

/ 351