qui est une vertu de la vie civile, est destinée de Dieu pour régler nos réjouissances : Quand nous agissons sous sa conduite, nous ne pouvons faillir ; comme c’est elle qui nous y pousse ; c’est elle aussi qui nous dit, c’est assez, lorsqu’elle a parlé, il faut tout quitter, autrement on tombe dans l’excès. […] Au défaut du châtiment des hommes, Dieu prend quelquefois les verges, et en frappe si rudement, que ceux qui ont d’assez bons yeux pour remarquer la conduite de sa Sagesse jugent bien qu’il connaît une malignité dans les masques et dans les momons, que les hommes ne savent pas craindre.