/ 351
272. (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42

Quant à celles des petits spectacles, on leur permet d’être très licencieuses, pour vu qu’elles n’aient ni plan ni conduite ; si elles ne blessent pas le bon sens et la raison, le censeur les défend comme attentatoires aux priviléges des grands théâtres4. […] Si les acteurs, chargés de cette censure, trouvoient la piece bien conduite, ils retranchoient quelques scenes, qui la privoient de l’enchaînement et de la suite qu’elle devoit avoir.

/ 351