Le théatre est un enfer, il le mérite, & y conduit ; les flammes de la passion, en brûlant les cœurs, allument celles de l’abyme. […] C’est le chemin qui conduit à l’enfer ; ils y mènent les danseurs, ils marchent à leur tête : Illud iter diaboli, illud sequuntur tripudiantes, ibi diabolus insidians & assessor.