Cet Empereur ordonna à la fin de septembre de la même année, que les filles des Comédiens ne pourroient être désormais obligées de suivre la condition de leur mere, quand elles auroient embrassé une vie plus grave. […] En 1779, je fus prié de consulter le cas suivant : Un grand Seigneur, qui avoit souvent chez lui une compagnie aussi nombreuse que respectable, faisoit représenter dans son Château, (non par des Comédiens, mais par des personnes de condition qui alloient lui tenir compagnie) les piéces de Moliere & autres, qu’on débite sur nos Théatres.