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360. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

Calvin, jaloux de Servet, le fait condamner à être brûlé vif, sous prétexte qu’il blasphémait, & fait à cette occasion un Traité, prouvant qu’on peut faire mourir les Hérétiques, tandis qu’il était lui-même dans le cas. […] Il condamne toute novation dans le Gouvernement ; mais veut bien permettre de tous les plaisirs le bal, qui est le plus dangéreux. […] Licinius Calvus, Orateur célèbre des Romains, plaida avec tant de force contre Vatinius, que celui-ci voyant qu’il allait être condamné, l’interrompit en disant aux Juges : « hé quoi ! Messieurs, parce que mon accusateur est éloquent, est-il juste que je sois condamné ? 

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