Platon condamne toute Poesie qui excite les Passions. […] Platon pensa des Spectacles comme Solon, & poussa la sévérité jusqu’à condamner toute Poësie imitative. […] Condamnons comme lui tous les Ouvrages qui peuvent nous précipiter dans cet Amour qu’il appelle vulgaire, & profitons de ce qu’il a dit de bon. […] Il arrive de-là que nous condamnons souvent dans des Piéces ce que nous n’entendons pas. […] Il ne seroit peut être pas difficile de prouver que cette Morale doit elle-même condamner les Spectacles.