Il faudrait insérer ici une partie des décrets des Conciles tenus en France après le Concile de Trente, Si je voulais rapporter tout ce qui regarde la condamnation du Théâtre, et des spectacles, dans les jours que l'Eglise ordonne de sanctifier, sans parler des anciens Canons, ni des décisions des Pères. […] Le carême, et tout le temps du jeûne étant consacré à la Prière, aux larmes, à la componction, à la tristesse, et à la crainte salutaire qui nous mène au salut, et aux joies éternelles par la privation des fausses joies de ce siècle, les Conciles, et les Pères ont toujours insisté sur cette maxime, qu'il en fallait exclure les spectacles quand même ils seraient innocents.