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263. (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189

Il fait plus lorsque Philinte cherche à l’adoucir, en lui disant avec intérêt : Dans vos brusques chagrins je ne puis vous comprendre, Et quoi qu’amis enfin, je suis tout des premiers. […] La loi étant générale, ils seroient au contraire flatés qu’on les comprit dans le nombre de ceux pour qui l’amour de la patrie l’a dicté.

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