Doit-on s’étonner que ceux qui s’adonnent à ce genre périlleux, prennent presque autant de soin de gagner les spectateurs, que de composer de bons ouvrages ?
Doit-on s’étonner que ceux qui s’adonnent à ce genre périlleux, prennent presque autant de soin de gagner les spectateurs, que de composer de bons ouvrages ?