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67. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76

Et quand même ces effets, que je n’ose faire entrevoir, ne s’en suivraient pas, n’est-ce pas un terrible mal que cette idolâtrie que commet le cœur humain dans une violente passion ? N’est-ce pas en quelque sens le plus grand péché qu’on puisse commettre ? […] Quelle faute ne commettent-ils point, non seulement lorsqu’ils se plaisent à entendre chanter ces Chansons mondaines par leurs enfants ; mais même à les leur apprendre eux-mêmes ?

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