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34. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92

Je commence par Plaute ; ce Comique si répréhensible est modeste néanmoins en comparaison de nos Poètes. […] Que l’on admire ici la discrétion de ce Comique comparé à ceux de notre siècle ! […] Je ne veux néanmoins que les Ouvrages mêmes de ce Comique pour le perdre de crédit et anéantir son autorité. […] Le Comique est-il moins redevable de sa conduite au naturel et au vraisemblable, que ne l’est le Tragique ? […] Euripide n’objecte rien à cette réponse : d’où nous pouvons conclure que le Poète Comique ne désavouait pas l’apologie d’Eschyle.

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