Cette Lettre, avec un si beau titre, n’eut pour approbateurs que des Poëtes dramatiques, & elle ne put être imprimée qu’à la tête & qu’à la faveur d’un Recueil de Pieces comiques. […] « Une querelle de ménage, qui produit un incident plus comique que fastidieux. […] Freron 201, déjà observé mille fois que les crimes sont du district du Lieutenant-Criminel, les vices de celui de Lieutenant de Police, & les ridicules seulement de la Jurisdiction du Poëte comique ». […] Je les réduirois à ces deux points : « A l’égard des Pieces, supprimer totalement celles dont le fonds est vicieux ou impie ; car nous en avons de ces dernieres, soit dans le Tragique, soit dans le Comique : corriger celles qui ne péchent que dans les détails ; en ôter les expressions libres, grossierement indécentes, n’y rien laisser en un mot qui sente le libertinage du cœur, encore moins celui de l’esprit. […] On trouve les influences de ces principes scandaleux dans un Ecrit qui parut en 1775, sous le titre de Lettre à Madame la Comtesse de T***, sur un second Théatre François à Paris, & sur le retour de l’ancien Opéra Comique.