/ 288
204. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Apparemment il était bien aise; et on n’a rien à lui dire puisqu’il en est si content : mais il voudra bien qu’on croie toujours qu’il est rare d’avoir des sentiments de Religion, et de ne pas trouver le stoïsme de nos Poètes graves, très injurieux au Christianisme, et les bouffonneries de nos Comiques, très contraires à la charité et à la chasteté Chrétienne. […] Un Comique a le secret de montrer aux hommes leurs défauts sans qu’ils s’en puissent fâcher ; il y en a même qui assurent que ses bouffonneries avalent mieux que les plus morales et les plus sérieuses prédications.

/ 288