Dites, que la pudeur d’une jeune fille n’est offensée que par accident, par tous les discours, où une personne de son sexe parle de ses combats, où elle avoue sa défaite, l’avoue à son vainqueur, au public.
Dites, que la pudeur d’une jeune fille n’est offensée que par accident, par tous les discours, où une personne de son sexe parle de ses combats, où elle avoue sa défaite, l’avoue à son vainqueur, au public.