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347. (1692) De la tragédie « De la tragédie ancienne et moderne. » pp. 148-162

Les Prédicateurs ne souffriraient point que la Chaire et le Théâtre fussent confondus, et qu’on allât apprendre de la bouche des Comédiens, ce qu’on débite avec autorité dans les Eglises à tous les peuples. […] Si une Comédienne a l’art de se plaindre et de pleurer d’une manière touchante, nous lui donnons des larmes aux endroits qui demandent de la gravité ; et parce qu’elle plaît mieux quand elle est sensible, elle aura partout indifféremment de la douleur.

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