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332. (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292

Comme avec un adversaire aussi redoutable que vous l’êtes, il est bon de prendre ses avantages, et de faire armes de tout au besoin ; je n’ai eu garde de détacher la Comédie du Comédien, qui fait un de ses principaux dangers, comme vous en convenez très équitablement. […] Je vous sais bon gré de m’abandonner le Comédien et nos Poètes modernes, et même M.

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