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52. (1865) Mémoires de l’abbé Le Gendre pp. 189-194

En ce temps-là parut une lettre en faveur de la comédie, lettre assez bien écrite et si ample, qu’elle pouvait passer pour un traité. […] Y a-t-il du mal à aller à la comédie ? […] Le but de la comédie n’est pas moins de corriger que de divertir. L'ancienne comédie, contre laquelle les conciles et les Pères ont tant fulminé, était d’une turpitude à ne le pouvoir exprimer. […] C’était ce poète qui avait excité le Père à mettre la main à la plume, pour prouver qu’il n’y a point de mal à aller à la comédie.

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