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26. (1671) De la connaissance des bons livres « DE LA COMEDIE  » pp. 232-248

Les Comédies se défendaient davantage par la foule de leurs Auditeurs et Approbateurs. […] Aucun ne voudrait contester qu’il ne faille faire effort pour se délivrer de ces dangers où l’on dit que les Comédies nous exposent. […] Tournez toutes les Comédies au bien, et vous n’y apprendrez que du bien. […] Comme cela se trouve souvent dans les Histoires, cela doit être observé de même dans les Comédies, et par ce moyen elles pourront être reçues. […] Nous voyons bien que l’on demanderait une réformation générale, ou une condamnation absolue de la Comédie.

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