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426. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE IV. Le vice élevé en honneur et substitué à la place de la vertu sur le Théâtre Anglais. » pp. 240-301

Le vice déguisé de la sorte peut s’insinuer plus aisément dans l’imagination, suborner la raison, et pénétrer jusqu’au cœur. […] Laissant donc à part cette circonstance ; Valentin est un homme perdu de vices, un prodigue, un débauché, un impie, un mauvais cœur, un fils dénaturé. […] Qui aurait le cœur assez dur pour tourmenter les gens à ce sujet ? […] Un homme qui a perdu l’esprit ne rit de tout son cœur que parce qu’il est fou : la frénésie même et la fièvre chaude peuvent tellement remuer le diaphragme qu’elles excitent le ris à un malade.

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